Le Japon a commencé à libérer de l’eau radioactive traitée de la centrale nucléaire de Fukushima dans l’océan Pacifique.
En mars 2011, le Japon a été frappé par un séisme majeur suivi d’un tsunami dévastateur qui a endommagé la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, provoquant le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl en 1986. Suite à cela, pour refroidir les réacteurs endommagés, de grandes quantités d’eau ont été injectées, conduisant à l’accumulation d’eau contaminée.
Aujourd’hui, le débat sur la manière de traiter cette eau accumulée fait rage. Le 24 août 2023, le Japon a commencé à libérer cette eau traitée dans l’océan Pacifique. Cette décision, soutenue par l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA), est conforme aux normes de sécurité internationales, soulignant un impact minimal sur l’environnement et la population.
Toutefois, cette action a suscité des inquiétudes régionales et locales, en particulier en Corée du Sud et en Chine. Ces pays ont exprimé leurs préoccupations malgré l’absence de preuves scientifiques d’un danger potentiel. La Chine a même interdit les importations de produits de la mer en provenance du Japon.
Le processus de traitement de l’eau par le système ALPS élimine la majorité des composés radioactifs, à l’exception du tritium. Cette eau est ensuite diluée avant sa libération. Malgré l’assurance des experts et des autorités sur la sécurité du processus, des inquiétudes persistent concernant les impacts à long terme et la perception publique.
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SOURCES :
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